Bon ben ça fait une semaine que je pratique le maudit (si seulement Amirm ne l'avait pas mesuré, on pourrait en parler plus sereinement). J'ai eu l'opportunité de le confronter quelques jours au AHB2, et la version Discrete me semble plus proche du AHB2 sur la présentation que ne l'était le LA90 (tout court). Les plus sont: ça fourmille de détails qui n'apparaissent pas avec le AHB2 (pourtant loin d'être avare), mais même à ce niveau de silence, il semblerait qu'on puisse encore plus grapiller.
Sur les albums d'Emil Brandqvist Trio qui tournent en boucle, la précision du jeu de cymbales se retrouve au même plan que le piano, donnant une impression d'équilibre qui n'est pas présente sur le AHB2. Sur les critères de transparence et respect des timbres: il m'est très difficile de les départager. Quand la voix est chargée comme Milt Hoffman, sur "The next time I love" que Guillaume de Chassy, elle n'est pas dégraissée, et rien de ne manque à son grain. Evidemment, et tout comme le AHB2, le LA90D ne fera pas de cadeau sur les prises de son moyenne ou mauvaise. C'est un fil droit et ... presque très linéaire.
Sur mon système, la scène semble plus holographique avec le LA90D, mais encore une fois sur ces critères, j'atteins mes limites et celles de mon environnement. Dans une pièce traitée et non un salon de monsieur tout le monde, ce n'est plus la même limonade.
Pour les moins: L'un reste deux fois plus puissant que l'autre, et je suppose que le courant manque parfois. Les interprétations de Tierj Lsungset sont toute aussi abyssales, mais impressionnent moins. C'est propre, et je dirai même plus nuancé, mais ça manque d'impact. Ca se retrouve aussi sur l'attaque des notes de piano ou de violoncelle, dès qu'on reste dans le médium, tout se passe très bien, mais dans le bas médium et grave, la comparaison avec le AHB2 est sans appel. Ce dernier est plus clairement plus percutant. Ce qui est sensible sur mes enceintes de rendement élevé et facile à tenir.
Donc next step: parait que deux c'est mieux qu'un !!!
Sur les albums d'Emil Brandqvist Trio qui tournent en boucle, la précision du jeu de cymbales se retrouve au même plan que le piano, donnant une impression d'équilibre qui n'est pas présente sur le AHB2. Sur les critères de transparence et respect des timbres: il m'est très difficile de les départager. Quand la voix est chargée comme Milt Hoffman, sur "The next time I love" que Guillaume de Chassy, elle n'est pas dégraissée, et rien de ne manque à son grain. Evidemment, et tout comme le AHB2, le LA90D ne fera pas de cadeau sur les prises de son moyenne ou mauvaise. C'est un fil droit et ... presque très linéaire.
Sur mon système, la scène semble plus holographique avec le LA90D, mais encore une fois sur ces critères, j'atteins mes limites et celles de mon environnement. Dans une pièce traitée et non un salon de monsieur tout le monde, ce n'est plus la même limonade.
Pour les moins: L'un reste deux fois plus puissant que l'autre, et je suppose que le courant manque parfois. Les interprétations de Tierj Lsungset sont toute aussi abyssales, mais impressionnent moins. C'est propre, et je dirai même plus nuancé, mais ça manque d'impact. Ca se retrouve aussi sur l'attaque des notes de piano ou de violoncelle, dès qu'on reste dans le médium, tout se passe très bien, mais dans le bas médium et grave, la comparaison avec le AHB2 est sans appel. Ce dernier est plus clairement plus percutant. Ce qui est sensible sur mes enceintes de rendement élevé et facile à tenir.
Donc next step: parait que deux c'est mieux qu'un !!!