Alors voilà, les photos donnent un bon aperçu de l’antre de François, mais juste ça, un aperçu.
Parce que, quand on arrive en haut de l’escalier dérobé (qu’il vaut mieux avoir à gravir et à redescendre en étant sobre), c’est la même chose mais en grandeur réelle et là c’est assez impressionnant.
Une belle pièce dédiée, traitée et avec, comment dire, "un peu" de matos… : l’enfilade sous l’écran (très grand) intègre du beau et du bon, en particulier le Tembaqui, le pré et le bloc Accuphase, et, réparties entre l’avant et l’arrière, 4 paires d’enceintes + centrale + caisson, quand même.
Et je passe vite sur les autres objets : NAS, NUC, DSP, alims, disques durs, switchs, logiciels (Roon, HQ Player, Diretta…) et tous les câbles pour relier et alimenter tout ce beau monde, qui font une config bien dotée, assurément de technophile (cela m’a d’autant plus marqué que je suis de mon côté dans une démarche de réduction du nombre de boites et de simplification de l’utilisation).
Une complète découverte, je ne connaissais aucun des appareils présents. Et pas un tube à l'horizon, incroyable
La pièce : dans un environnement très calme (c’est pas toujours le cas), traitée comme on peut le voir sur les photos au niveau des sous-pentes, du plafond, des côtés et du sol. Et un bon canapé confortable.
Traitement visiblement étudié et réalisé avec soin, car ça s’entend avant même de faire jouer la musique : légère matité sans être pour autant terne. A priori, on pourrait imaginer que les Fostex (beaux morceaux d’enceintes) seraient un peu surdimensionnées en particulier avec les sous-pentes assez proches du haut des enceintes. Mais l’écoute montre qu’il n’en est rien, le traitement semble être bien adapté.
J’y ai vécu deux moments musicaux différents entre l’écoute stéréo avec le Tembaqui et les Accuphase sur les Fostex et dans un deuxième temps, l’immersion en multi-canal. Avec plusieurs configurations permises par les différents éléments du système tous reliés entre eux, les combinaisons possibles sont nombreuses. Avec ou sans corrections par DSP, direct sur le DAC ou en passant par Diretta (j’en oublie et je n’ai pas forcément tout suivi, François pourra préciser).
C’est un plus de pouvoir jouer avec les différentes configurations, selon le type de musique, la qualité de l’enregistrement, l’humeur du moment aussi. Difficile de ne pas y trouver son compte.
Dans tous les cas, l’écoute est douce, c’est le premier mot qui m’est venu à l’esprit. Détaillée et douce, encore plus avec le traitement DSP (perso j’ai préféré sans, ça donne plus d’air en haut et de mouvement). Les Fostex descendent très bas, mais comme la pièce se comporte bien, pas de souci. Globalement, l’impression est la maitrise sur toute la bande (“y a rien qui dépasse”), pas d’ondes réfléchies pour venir perturber le message. Avec au final de très beaux timbres, une belle scène 3D.
L’expérience en multi-canal est assez étonnante : immersive. L’écoute d’une pièce pour piano de Mozart m’a vraiment emballée, je n’avais jamais entendu comme ça du piano enregistré ; le dosage du multicanal y est léger, contrairement à d’autres morceaux comme Bohemian Rhapsody de Queen qui joue vraiment des effets assez marqués.
Le temps a filé à toute allure et comme il y avait un bout de route, il a bien fallu s’arrêter. Un grand merci à François pour son accueil, bravo pour le travail de la pièce et pour le système !
Parce que, quand on arrive en haut de l’escalier dérobé (qu’il vaut mieux avoir à gravir et à redescendre en étant sobre), c’est la même chose mais en grandeur réelle et là c’est assez impressionnant.
Une belle pièce dédiée, traitée et avec, comment dire, "un peu" de matos… : l’enfilade sous l’écran (très grand) intègre du beau et du bon, en particulier le Tembaqui, le pré et le bloc Accuphase, et, réparties entre l’avant et l’arrière, 4 paires d’enceintes + centrale + caisson, quand même.
Et je passe vite sur les autres objets : NAS, NUC, DSP, alims, disques durs, switchs, logiciels (Roon, HQ Player, Diretta…) et tous les câbles pour relier et alimenter tout ce beau monde, qui font une config bien dotée, assurément de technophile (cela m’a d’autant plus marqué que je suis de mon côté dans une démarche de réduction du nombre de boites et de simplification de l’utilisation).
Une complète découverte, je ne connaissais aucun des appareils présents. Et pas un tube à l'horizon, incroyable
La pièce : dans un environnement très calme (c’est pas toujours le cas), traitée comme on peut le voir sur les photos au niveau des sous-pentes, du plafond, des côtés et du sol. Et un bon canapé confortable.
Traitement visiblement étudié et réalisé avec soin, car ça s’entend avant même de faire jouer la musique : légère matité sans être pour autant terne. A priori, on pourrait imaginer que les Fostex (beaux morceaux d’enceintes) seraient un peu surdimensionnées en particulier avec les sous-pentes assez proches du haut des enceintes. Mais l’écoute montre qu’il n’en est rien, le traitement semble être bien adapté.
J’y ai vécu deux moments musicaux différents entre l’écoute stéréo avec le Tembaqui et les Accuphase sur les Fostex et dans un deuxième temps, l’immersion en multi-canal. Avec plusieurs configurations permises par les différents éléments du système tous reliés entre eux, les combinaisons possibles sont nombreuses. Avec ou sans corrections par DSP, direct sur le DAC ou en passant par Diretta (j’en oublie et je n’ai pas forcément tout suivi, François pourra préciser).
C’est un plus de pouvoir jouer avec les différentes configurations, selon le type de musique, la qualité de l’enregistrement, l’humeur du moment aussi. Difficile de ne pas y trouver son compte.
Dans tous les cas, l’écoute est douce, c’est le premier mot qui m’est venu à l’esprit. Détaillée et douce, encore plus avec le traitement DSP (perso j’ai préféré sans, ça donne plus d’air en haut et de mouvement). Les Fostex descendent très bas, mais comme la pièce se comporte bien, pas de souci. Globalement, l’impression est la maitrise sur toute la bande (“y a rien qui dépasse”), pas d’ondes réfléchies pour venir perturber le message. Avec au final de très beaux timbres, une belle scène 3D.
L’expérience en multi-canal est assez étonnante : immersive. L’écoute d’une pièce pour piano de Mozart m’a vraiment emballée, je n’avais jamais entendu comme ça du piano enregistré ; le dosage du multicanal y est léger, contrairement à d’autres morceaux comme Bohemian Rhapsody de Queen qui joue vraiment des effets assez marqués.
Le temps a filé à toute allure et comme il y avait un bout de route, il a bien fallu s’arrêter. Un grand merci à François pour son accueil, bravo pour le travail de la pièce et pour le système !
S1 : Teac UD701N > Brinkmann Intégré > PeLéon Caprice
S2 : En construction pour fin 2025 (source démat à définir > Audio Analogue Verdi Cento+ > PeLéon Trilogue+)
A vendre : 3 tubes 6B4G black bottle, 2 paires de 6SN7, tuner Sansui TU-717
S2 : En construction pour fin 2025 (source démat à définir > Audio Analogue Verdi Cento+ > PeLéon Trilogue+)
A vendre : 3 tubes 6B4G black bottle, 2 paires de 6SN7, tuner Sansui TU-717