02-01-2017, 08:43 AM
(Modification du message : 02-01-2017, 08:51 AM par Musicalbox.)
Gould .....
Peut-être a-t-il été sincère à ses tout débuts.
Ensuite une personnalité montée de toute pièce, une mythologies organisée, un jeu de massacre sur les partitions juste histoire de ne pas faire comme les autres.....
Il y avait dans ses premières approches une sensibilité différente, véritable.
Ensuite tout à viré à théâtre. Au mepris de l'écriture.
Ça donne des choses du genre mettre un point d'orgue au bout de chaque montée de la Fantaisie chromatique, à l'inverse de ce qu'à écrit Bach puisque justement la surprise vient de la fluidité chromatique.
Gould c'est un gros cinéma organisé dans un seul but : médiatisation, vente.
On passera sur le ridicule des films de Montsaingeon.
Alors pitié qu'on laisse Bill Evans en dehors de ce truc à vomir, de cette machine à media.
Désolée si cela ne cadre pas avec l'image admirative, mais je ne peux pas admirer quelqu'un qui a fait un tel cinéma permanent et marché sur la musique. Ça a souvent viré au jeu de massacre.
Après cela n'engage que moi, on peut ne pas être d'accord, je comprendrai.
Bill Evans a détruit son corps, brûlé sa vie, on est beaucoup plus proche de Charlie Parker. À à rigueur de Chet Baker peut-être.
C'est une souffrance avec grâce, sans jamais la moindre lourdeur. Sans mensonge.
Peut-être a-t-il été sincère à ses tout débuts.
Ensuite une personnalité montée de toute pièce, une mythologies organisée, un jeu de massacre sur les partitions juste histoire de ne pas faire comme les autres.....
Il y avait dans ses premières approches une sensibilité différente, véritable.
Ensuite tout à viré à théâtre. Au mepris de l'écriture.
Ça donne des choses du genre mettre un point d'orgue au bout de chaque montée de la Fantaisie chromatique, à l'inverse de ce qu'à écrit Bach puisque justement la surprise vient de la fluidité chromatique.
Gould c'est un gros cinéma organisé dans un seul but : médiatisation, vente.
On passera sur le ridicule des films de Montsaingeon.
Alors pitié qu'on laisse Bill Evans en dehors de ce truc à vomir, de cette machine à media.
Désolée si cela ne cadre pas avec l'image admirative, mais je ne peux pas admirer quelqu'un qui a fait un tel cinéma permanent et marché sur la musique. Ça a souvent viré au jeu de massacre.
Après cela n'engage que moi, on peut ne pas être d'accord, je comprendrai.
Bill Evans a détruit son corps, brûlé sa vie, on est beaucoup plus proche de Charlie Parker. À à rigueur de Chet Baker peut-être.
C'est une souffrance avec grâce, sans jamais la moindre lourdeur. Sans mensonge.