02-21-2022, 08:10 AM
Tu vois Raphaël, la différence entre nous est que je ne traite pas de ridicule une approche qui n’est pas la mienne.
Nous avons tous des façons d’écouter la musique différentes.
Donc nous ne demandons pas la même chose au matériel.
Et cela tombe bien : il y a pléthore de choix sur le marché.
Je l’avoue (préparez le bucher), j’écoute AUSSI l’écriture de la musique.
Et oui j’ai donc besoin d’entendre tout.
Et oui, les timbres, les développements des harmoniques, m’importent aussi.
Et j’au viscéralement besoin d’entendre le bois , le cuivre, les peaux… parce que cela fait partie du plaisir de l’instrument.
Autant je me moque d’entendre une mouche voler, la respiration du violoncelliste, les bruits de bouche de la chanteuse ou les ongles du pianiste sur le clavier, autant Marcus Miller a le jeu qu’il a et le réglage de l'instrument en fait partie.
Je ne juge pas l’écoute globale, mais il faut tolérer que nous n’ayons pas tous les mêmes attentes.
Autrefois il était possible d’en discuter.
S’il est devenu aujourd’hui interdit de le dire….
Techniquement un ampli qui est plus à l’aise avec une enceinte qu’une autre montre qu’il a des limites, personne ne le conteste.
Dans la restitution des sonorités il y a aussi des approches techniques qui diffèrent.
Tu as trouvé les condensateurs de sortie du SFD1 « bouchés », je n’y ai vu aucun bouchon, tu trouves les timbres du Krell véridiques, je les trouve empâtés et insuffisants, c’est ainsi que nous ressentons le son, c’est subjectif, en rapport avec notre vécu, notre formatage d’écoute.
Il n’y a pas de jugement.
C’est seulement une différence.
En revanche, techniquement, le matériel peut ou ne peut pas, une conception va plus ou moins loin. Cela c'est un fait.
Je n’ai jamais eu l’opportunité d’écouter du Dan d’Agostino actuel, mais je doute qu’il n’ait pas poursuivi sa recherche.
Krell est synonyme de qualité de raisonnement. C’est indéniable !
Simplement en quarante ans on a le temps d’avoir approfondi le travail.
Dan d’Agostino a donné à Krell les fondements d’une véritable démarche technique. Qui sortait du lot.
Deux ans après (me semble-t- il) il a créé sa propre marque.
Nous avons tous des façons d’écouter la musique différentes.
Donc nous ne demandons pas la même chose au matériel.
Et cela tombe bien : il y a pléthore de choix sur le marché.
Je l’avoue (préparez le bucher), j’écoute AUSSI l’écriture de la musique.
Et oui j’ai donc besoin d’entendre tout.
Et oui, les timbres, les développements des harmoniques, m’importent aussi.
Et j’au viscéralement besoin d’entendre le bois , le cuivre, les peaux… parce que cela fait partie du plaisir de l’instrument.
Autant je me moque d’entendre une mouche voler, la respiration du violoncelliste, les bruits de bouche de la chanteuse ou les ongles du pianiste sur le clavier, autant Marcus Miller a le jeu qu’il a et le réglage de l'instrument en fait partie.
Je ne juge pas l’écoute globale, mais il faut tolérer que nous n’ayons pas tous les mêmes attentes.
Autrefois il était possible d’en discuter.
S’il est devenu aujourd’hui interdit de le dire….
Techniquement un ampli qui est plus à l’aise avec une enceinte qu’une autre montre qu’il a des limites, personne ne le conteste.
Dans la restitution des sonorités il y a aussi des approches techniques qui diffèrent.
Tu as trouvé les condensateurs de sortie du SFD1 « bouchés », je n’y ai vu aucun bouchon, tu trouves les timbres du Krell véridiques, je les trouve empâtés et insuffisants, c’est ainsi que nous ressentons le son, c’est subjectif, en rapport avec notre vécu, notre formatage d’écoute.
Il n’y a pas de jugement.
C’est seulement une différence.
En revanche, techniquement, le matériel peut ou ne peut pas, une conception va plus ou moins loin. Cela c'est un fait.
Je n’ai jamais eu l’opportunité d’écouter du Dan d’Agostino actuel, mais je doute qu’il n’ait pas poursuivi sa recherche.
Krell est synonyme de qualité de raisonnement. C’est indéniable !
Simplement en quarante ans on a le temps d’avoir approfondi le travail.
Dan d’Agostino a donné à Krell les fondements d’une véritable démarche technique. Qui sortait du lot.
Deux ans après (me semble-t- il) il a créé sa propre marque.
