Dans mon cas, c'est plutôt la distance physique par rapport aux enceintes qui sert de variable d'ajustement entre les différents modes d'écoute.
Comme mon système est installé dans ma pièce de vie, et qu'il tourne environ 18h/24, en fonction de l'endroit où je m'installe et du type d'activité que j'ai, je vais me retrouver complètement immergé et au premier rang, ou bien plus en retrait et écouter les choses avec un certain recul, avec davantage de réalisme comme cela a été écrit plus haut.
Ce qui est frappant néanmoins c'est que les efforts de mise en oeuvre (corrections passive et active) ont porté leurs fruits quel que soit le mode d'écoute et l'emplacement d'où on écoute.
Quels que soient en effet la distance et l'angle par rapport à l'axe de symétrie des enceintes, on a toujours le sentiment assez magique de la présence réelle du piano, ou de l'orchestre à une extrémité de la pièce
Comme mon système est installé dans ma pièce de vie, et qu'il tourne environ 18h/24, en fonction de l'endroit où je m'installe et du type d'activité que j'ai, je vais me retrouver complètement immergé et au premier rang, ou bien plus en retrait et écouter les choses avec un certain recul, avec davantage de réalisme comme cela a été écrit plus haut.
Ce qui est frappant néanmoins c'est que les efforts de mise en oeuvre (corrections passive et active) ont porté leurs fruits quel que soit le mode d'écoute et l'emplacement d'où on écoute.
Quels que soient en effet la distance et l'angle par rapport à l'axe de symétrie des enceintes, on a toujours le sentiment assez magique de la présence réelle du piano, ou de l'orchestre à une extrémité de la pièce