Bonjour Zaurux, merci pour ce doc très complet que j'ai également du mal à parfaitement maîtriser même si ces concepts ne me sont pas inconnus.
Heureusement, nous n'avons généralement guère à nous préoccuper de concevoir des circuits imprimés audionumériques ni de mettre à la terre nos bâtiments, ce qui restreint la problématique !
La vulgarisation pourrait être assez fastidieuse et pas forcément utile car je ne doute pas que tu possèdes nombre de ces notions.
Tout ce qui nous importe est de maîtriser le parcours des courants non intentionnels que sont les courants de fuite et les EMI. Leur origine veut qu'ils tendent à retourner à la terre. On peut donc décider d'être entièrement flottant ou de forcer leur retour de manière à ce qu'ils ne perturbent pas nos équipements.
Dans cette seconde optique, il faut retenir que la mise à la terre de la masse électrique ne doit être faite qu'en un point unique pour la partie audio, à la sortie du dac ou l'entrée du préampli car le shunt réduira quasiment à zéro les amplitudes de ces courants non intentionnels là où ils seront le plus amplifiés. L'impédance de ce shunt doit être la plus faible possible.
Pour la partie numérique, réseau, serveurs et streamer, la liaison peut être faite en plusieurs points. Toutefois, elle peut paradoxalement avoir pour effet de rompre l'isolation galvanique. Il faut alors réfléchir au trajet du courant non intentionnel, toujours orienté vers l'impédance la plus faible pour savoir s'il retourne directement à la terre ou via un autre équipement.
Perso, j'ai résolu beaucoup de pb en laissant flotter le streamer alors que la sortie du dac et de nombreux éléments sur le réseau sont à la terre. Pour cela, le streamer est isolé galvaniquement du secteur par une Lps1, du réseau par un isolateur RJ45 Med, du dac par un ISO Regen.
Tout est dans le trajet de ces courants non intentionnels, dépendant des impédances a traverser. Voilà ce qui est essentiel ! Je peux essayer de répondre à d'éventuelles questions si elle est dans mes cordes, sachant que je ne suis pas concepteur de CI et pas non plus un as de la CEM
Heureusement, nous n'avons généralement guère à nous préoccuper de concevoir des circuits imprimés audionumériques ni de mettre à la terre nos bâtiments, ce qui restreint la problématique !
La vulgarisation pourrait être assez fastidieuse et pas forcément utile car je ne doute pas que tu possèdes nombre de ces notions.
Tout ce qui nous importe est de maîtriser le parcours des courants non intentionnels que sont les courants de fuite et les EMI. Leur origine veut qu'ils tendent à retourner à la terre. On peut donc décider d'être entièrement flottant ou de forcer leur retour de manière à ce qu'ils ne perturbent pas nos équipements.
Dans cette seconde optique, il faut retenir que la mise à la terre de la masse électrique ne doit être faite qu'en un point unique pour la partie audio, à la sortie du dac ou l'entrée du préampli car le shunt réduira quasiment à zéro les amplitudes de ces courants non intentionnels là où ils seront le plus amplifiés. L'impédance de ce shunt doit être la plus faible possible.
Pour la partie numérique, réseau, serveurs et streamer, la liaison peut être faite en plusieurs points. Toutefois, elle peut paradoxalement avoir pour effet de rompre l'isolation galvanique. Il faut alors réfléchir au trajet du courant non intentionnel, toujours orienté vers l'impédance la plus faible pour savoir s'il retourne directement à la terre ou via un autre équipement.
Perso, j'ai résolu beaucoup de pb en laissant flotter le streamer alors que la sortie du dac et de nombreux éléments sur le réseau sont à la terre. Pour cela, le streamer est isolé galvaniquement du secteur par une Lps1, du réseau par un isolateur RJ45 Med, du dac par un ISO Regen.
Tout est dans le trajet de ces courants non intentionnels, dépendant des impédances a traverser. Voilà ce qui est essentiel ! Je peux essayer de répondre à d'éventuelles questions si elle est dans mes cordes, sachant que je ne suis pas concepteur de CI et pas non plus un as de la CEM
Pluie du matin n'arrête pas le sous-marin