Bonjour à tous,
Le rodage avance à grand pas.
Les 914 sont là depuis cinq jours maintenant et si l’habitude d’avoir de tel monolithe de part et d’autre du meuble a du mal à prendre place, les habitudes sonores prennent bien placent ou s’évaporent. Tout dépend de l’approche que chacun peut se faire d’une écoute.
Tout est lisible, audible, palpable et cela tend à créer une telle harmonie que la représentation en trois dimension de la scène sonore devient tangible.
Les enceintes s’effacent pour laisser place à la musique.
J’ai passé Dave Brubeck et le magique Time out, ça joue ça swingue, ça accélère et sur Take Five et toutes les nuances du jeu de corde de la contrebasse sont présents ainsi que le sax de Paul Desmond et quelle accélération sur le solo de Joe Morello.
C’est d’une transparence rare sur Oscar Peterson, le morceau You look good to me. En effet rien n’est proéminent, chaque registre est à sa place, mais les respirations sont présentes sur le jam présent sur ce morceau. La contrebasse respire et toutes les nuances sont audibles, quelque soit le type de jeu adopté, frotté, gratté, pincé.
Sur le duo mistral gagnant de Maxime le Forestier accompagné de Vanessa Paradis, le placement de la scène est réel.
Il au piano et elle est bien assise sur la queue de ce dernier ( évidemment je parle du piano).
Dire Straits Live At the bbc, je n’avais pas repassé cet album depuis des lustres, pas depuis mes jbl ou mes audio référence. Bref c’était il y a longtemps et le souvenir que j’en gardais le voici, mauvais enregistrement, ça me casse les oreilles pour pas dire ça me vrille les tympans. Cet après-midi rien de tout ça. Une finesse de jeu à la batterie que je ne pouvais percevoir auparavant, une belle lisibilité de la basse et la guitare de Mark Knopfler qui s’exprime avec toute sa Maestria. Le souvenir bien présent de cet album est que je le trouvai tellement mauvais sur mon sytème de l’époque, c’est que j’étais déçu de mon achat et ne me souviens pas l’avoir écouté dans son entièreté d’un seul trait. Ben là c’est passé comme un bon vin. Le temps s’est évaporé jusqu’à la lie. Tout d’abord les poils qui se dressent dès les premiers accords de guitare, j’ai ensuite savouré ce bon fluide musical et pour terminé pas de dépôt en fond de carafe que du bon tout au long de l’album.
Charles Aznavour est incarné. Il est présent pour cela il suffit de fermer les yeux et se laisser envahir par la musique. Sur le titre non je n’ai rien oublié c’est simplement magique.
Pour en finir de ce premier jet de mots. Ces enceintes c’est du bonheur, lorsque nous les avions mises en place, un sourire béat avait pris place sur mon visage, le même que celui que j’avais lorsque j’ai tourné la clé de mon italienne pour réveiller le V6 aresse. Donc ces boîtes à musique, les v6 italiens et les flat 6 allemands sont de vrais anti dépresseurs. Je vais de ce pas voir mon médecin demander une feuille de soins pour une prescription longue durée.
Le rodage avance à grand pas.
Les 914 sont là depuis cinq jours maintenant et si l’habitude d’avoir de tel monolithe de part et d’autre du meuble a du mal à prendre place, les habitudes sonores prennent bien placent ou s’évaporent. Tout dépend de l’approche que chacun peut se faire d’une écoute.
Tout est lisible, audible, palpable et cela tend à créer une telle harmonie que la représentation en trois dimension de la scène sonore devient tangible.
Les enceintes s’effacent pour laisser place à la musique.
J’ai passé Dave Brubeck et le magique Time out, ça joue ça swingue, ça accélère et sur Take Five et toutes les nuances du jeu de corde de la contrebasse sont présents ainsi que le sax de Paul Desmond et quelle accélération sur le solo de Joe Morello.
C’est d’une transparence rare sur Oscar Peterson, le morceau You look good to me. En effet rien n’est proéminent, chaque registre est à sa place, mais les respirations sont présentes sur le jam présent sur ce morceau. La contrebasse respire et toutes les nuances sont audibles, quelque soit le type de jeu adopté, frotté, gratté, pincé.
Sur le duo mistral gagnant de Maxime le Forestier accompagné de Vanessa Paradis, le placement de la scène est réel.
Il au piano et elle est bien assise sur la queue de ce dernier ( évidemment je parle du piano).
Dire Straits Live At the bbc, je n’avais pas repassé cet album depuis des lustres, pas depuis mes jbl ou mes audio référence. Bref c’était il y a longtemps et le souvenir que j’en gardais le voici, mauvais enregistrement, ça me casse les oreilles pour pas dire ça me vrille les tympans. Cet après-midi rien de tout ça. Une finesse de jeu à la batterie que je ne pouvais percevoir auparavant, une belle lisibilité de la basse et la guitare de Mark Knopfler qui s’exprime avec toute sa Maestria. Le souvenir bien présent de cet album est que je le trouvai tellement mauvais sur mon sytème de l’époque, c’est que j’étais déçu de mon achat et ne me souviens pas l’avoir écouté dans son entièreté d’un seul trait. Ben là c’est passé comme un bon vin. Le temps s’est évaporé jusqu’à la lie. Tout d’abord les poils qui se dressent dès les premiers accords de guitare, j’ai ensuite savouré ce bon fluide musical et pour terminé pas de dépôt en fond de carafe que du bon tout au long de l’album.
Charles Aznavour est incarné. Il est présent pour cela il suffit de fermer les yeux et se laisser envahir par la musique. Sur le titre non je n’ai rien oublié c’est simplement magique.
Pour en finir de ce premier jet de mots. Ces enceintes c’est du bonheur, lorsque nous les avions mises en place, un sourire béat avait pris place sur mon visage, le même que celui que j’avais lorsque j’ai tourné la clé de mon italienne pour réveiller le V6 aresse. Donc ces boîtes à musique, les v6 italiens et les flat 6 allemands sont de vrais anti dépresseurs. Je vais de ce pas voir mon médecin demander une feuille de soins pour une prescription longue durée.