08-16-2016, 03:13 PM
A mon avis, si l'"émotion" n'est pas retranscrite par un système, c'est que ce système comporte des défauts "objectifs", bien que l'émotion soit une réaction d'une totale subjectivité personnelle.
Un système parfait devrait retranscrire au plus proche possible ce qui est enregistré.Si ce qui est enregistré contient de l'émotion, cette émotion est contenue par des informations réelles contenues dans le signal électrique, par certains détails touchant le message, comprenant notamment (mais pas seulement) le respect de la macro et micro-dynamique, le respect de certains détails subtils, le respect de la phase, le respect de la bande passante, le respect des bruits de salle (dans le cas du live) qui nécessite une BD étendue dans l'extrême grave, avec une phase acceptable..Et enfin une sonorité qui n'est pas "digitale".
A l'expérience, il est difficile de retranscrire l'émotion du "live", par ex en musique classique, avec des petits moniteurs "biblio", même actifs, car l'octave basse est complètement coupée, ce qui stérilise le ressenti de l'effet de salle et de proximité physique, même si certains monitors ctifs affichent une BP descendant à "38hz" par ex, c'est le cas de plusieurs.
Ne pas oublier qu'un coup de tiimbale nécessite pour etre ressenti et véhiculer l'émotion, non seulement une fréquence fondamentale basse, mais aussi une cohérence temporelle sans laquelle le coup en question sera ressenti comme une fondamentale basse d'abord, suivie plusieurs ms après par l'impact, ce qui -évidemment- fausse complètement l'effet réel.
Quant aux extreme-aigus, conditionnant l'effet d'aération ou de volume, que l'on appelle "air", encore faut il que la bande extreme aigue soit reproduite sans "gremlins", sans aggressivité ni métallisation, de façon "pure" et étandue vers le haut.
Enfin, le médium souffre très mal des diverses distorsions qui en brouillent la pureté, or les distorsions diverses se concentrent dans cette zone, disons 150 à 3000hz,car c'est là qu'on trouve les fractionnements de membrane, le filtrage non respectueux de la cohérence temporelle,les résidus audibles crées par le jitter, et diverses non-linéarités de réponse, notemment le haut grave ou bas médium enflé, ou le médium trop en avant.
En conclusion, retransmettre l'émotion nécessite de résoudre les problèmes de défauts objectifs.. (c'est juste mon avis!)
Un système parfait devrait retranscrire au plus proche possible ce qui est enregistré.Si ce qui est enregistré contient de l'émotion, cette émotion est contenue par des informations réelles contenues dans le signal électrique, par certains détails touchant le message, comprenant notamment (mais pas seulement) le respect de la macro et micro-dynamique, le respect de certains détails subtils, le respect de la phase, le respect de la bande passante, le respect des bruits de salle (dans le cas du live) qui nécessite une BD étendue dans l'extrême grave, avec une phase acceptable..Et enfin une sonorité qui n'est pas "digitale".
A l'expérience, il est difficile de retranscrire l'émotion du "live", par ex en musique classique, avec des petits moniteurs "biblio", même actifs, car l'octave basse est complètement coupée, ce qui stérilise le ressenti de l'effet de salle et de proximité physique, même si certains monitors ctifs affichent une BP descendant à "38hz" par ex, c'est le cas de plusieurs.
Ne pas oublier qu'un coup de tiimbale nécessite pour etre ressenti et véhiculer l'émotion, non seulement une fréquence fondamentale basse, mais aussi une cohérence temporelle sans laquelle le coup en question sera ressenti comme une fondamentale basse d'abord, suivie plusieurs ms après par l'impact, ce qui -évidemment- fausse complètement l'effet réel.
Quant aux extreme-aigus, conditionnant l'effet d'aération ou de volume, que l'on appelle "air", encore faut il que la bande extreme aigue soit reproduite sans "gremlins", sans aggressivité ni métallisation, de façon "pure" et étandue vers le haut.
Enfin, le médium souffre très mal des diverses distorsions qui en brouillent la pureté, or les distorsions diverses se concentrent dans cette zone, disons 150 à 3000hz,car c'est là qu'on trouve les fractionnements de membrane, le filtrage non respectueux de la cohérence temporelle,les résidus audibles crées par le jitter, et diverses non-linéarités de réponse, notemment le haut grave ou bas médium enflé, ou le médium trop en avant.
En conclusion, retransmettre l'émotion nécessite de résoudre les problèmes de défauts objectifs.. (c'est juste mon avis!)