05-12-2019, 08:35 AM
(Modification du message : 05-12-2019, 11:42 AM par blues_frérots.)
Bonjour jluc, bonjour aux Blueseux,
Comme vous tous, en bon fan inconditionnel de JJC , je me suis jeté sur cet album posthume dès le jour de sa sortie (la date était biffée depuis trois mois sur l'agenda). Il est passé quasi en boucle depuis, le bonhomme me manquait tellement.
Il s'agit en effet d'un très bel et très vrai double album de Cale, pas une simple parution "escroquerie" raclant les fonds de tiroirs. Pour moi, mais il y a peut être le choc de la nouveauté, il s'agit là de mon préféré du Tusla Man avec Naturally, Troubadour, Shades et The road to Escandido avec Clapton.
Concernant la production du vinyle notamment, je rappelle que les mixages/pressages des vinyles de JJ Cale n'ont jamais été dans les plus aboutis de l'histoire du Rock et du Blues. Pour des prises de son léchées il faut chercher ailleurs, mais la musique et les paroles des chansons qu'il nous a offertes depuis 1972 font oublier tout cela... Paradoxalement, les meilleures prises de son pour JJC se trouvent peut être sur son excellent live "JJ Cale Live" en 2001.
Concernant Slowhand , j'ai mentionné l'album qu'il a fait à quatre mains avec JJC en 2006, que pour ma part j'adore, rappelons aussi l'album hommage de 2014, avec d'autres potes , "The Breeze: An Appreciation of JJ Cale".
J'ai lu plus haut que vous rappeliez ce que Clapton et aussi Knopffler devaient à JJC. C'est en effet rendre justice que de le rappeler, et j'ai été à ce propos terriblement déçu que dans le film sorti en janvier de cette année "Eric Clapton : Life in 12 bars", le nom de JJC ne soit jamais prononcé ... Problème avec les héritiers? conflit non connu? problème de droits avec les maisons de disque? Bref , un film sur God sans JJC et sans "Cocaine", ça fait bizarre...
Par contre , je ne suis pas d'accord pour dire que Clapton doivent (presque) tout à JJ Cale. Leurs routes se sont croisées et c'est vrai que Clapton a su profiter du génie de JJC, mais comme il a su s'appuyer sur beaucoup d'autres gens pour développer son propre génie musical. Ceci étant, la révélation de Clapton, et la naissance de God, c'est avec John Mayall et les Bluesbreakers, Cream c'est sa consécration au panthéon du Rock, à une époque où JJC ne jouait encore que dans les bars de Tusla... Mais je chipote sûrement , et j'adore tout autant me replonger dans les galettes noires de Cale que dans celles de Clapton, surtout celles qui ne portent pas son nom (Derek et les Dominos en premier!!)
Allez on va dire qu'aujourd'hui c'est une journée JJC dans les vignes, on va vider l'étagère ad hoc et faire chauffer la X-Tension
Bon dimanche à tous, cordialement, BF.
Salut Jean,
Superbe cette petite vidéo, totalement collector.
Tu as eu la gentillesse de me la filer il y a 4 ou 5ans , je ne sais plus, c'était sur le "bleu" , et je la garde précieusement depuis. Je bluffe régulièrement mes potes Blueseux avec et je me la repasse régulièrement. C'est vraiment un document-cument
Bon dimanche, et meilleur souvenir à toi, Richard.
PS/ tu as vu, je poste très rarement sur le forum, mais quand on parle de JJC, je sors de ma tannière...
Il faut en effet acheter le double vinyle collector, qui est un superbe objet, avec un pressage très correct, et en plus le CD est offert avec ... Cordialement, BF.
Comme vous tous, en bon fan inconditionnel de JJC , je me suis jeté sur cet album posthume dès le jour de sa sortie (la date était biffée depuis trois mois sur l'agenda). Il est passé quasi en boucle depuis, le bonhomme me manquait tellement.
Il s'agit en effet d'un très bel et très vrai double album de Cale, pas une simple parution "escroquerie" raclant les fonds de tiroirs. Pour moi, mais il y a peut être le choc de la nouveauté, il s'agit là de mon préféré du Tusla Man avec Naturally, Troubadour, Shades et The road to Escandido avec Clapton.
Concernant la production du vinyle notamment, je rappelle que les mixages/pressages des vinyles de JJ Cale n'ont jamais été dans les plus aboutis de l'histoire du Rock et du Blues. Pour des prises de son léchées il faut chercher ailleurs, mais la musique et les paroles des chansons qu'il nous a offertes depuis 1972 font oublier tout cela... Paradoxalement, les meilleures prises de son pour JJC se trouvent peut être sur son excellent live "JJ Cale Live" en 2001.
Concernant Slowhand , j'ai mentionné l'album qu'il a fait à quatre mains avec JJC en 2006, que pour ma part j'adore, rappelons aussi l'album hommage de 2014, avec d'autres potes , "The Breeze: An Appreciation of JJ Cale".
J'ai lu plus haut que vous rappeliez ce que Clapton et aussi Knopffler devaient à JJC. C'est en effet rendre justice que de le rappeler, et j'ai été à ce propos terriblement déçu que dans le film sorti en janvier de cette année "Eric Clapton : Life in 12 bars", le nom de JJC ne soit jamais prononcé ... Problème avec les héritiers? conflit non connu? problème de droits avec les maisons de disque? Bref , un film sur God sans JJC et sans "Cocaine", ça fait bizarre...
Par contre , je ne suis pas d'accord pour dire que Clapton doivent (presque) tout à JJ Cale. Leurs routes se sont croisées et c'est vrai que Clapton a su profiter du génie de JJC, mais comme il a su s'appuyer sur beaucoup d'autres gens pour développer son propre génie musical. Ceci étant, la révélation de Clapton, et la naissance de God, c'est avec John Mayall et les Bluesbreakers, Cream c'est sa consécration au panthéon du Rock, à une époque où JJC ne jouait encore que dans les bars de Tusla... Mais je chipote sûrement , et j'adore tout autant me replonger dans les galettes noires de Cale que dans celles de Clapton, surtout celles qui ne portent pas son nom (Derek et les Dominos en premier!!)
Allez on va dire qu'aujourd'hui c'est une journée JJC dans les vignes, on va vider l'étagère ad hoc et faire chauffer la X-Tension
Bon dimanche à tous, cordialement, BF.
(05-10-2019, 12:03 AM)mélaudiophile a écrit : Salut,
pour les fans, une petite video de JJ seul avec un percussioniste, live acoustique de 11': lies, really, call me the breeze .
Image moyenne, repiquage d'une VHS enregistrée en 1983 mais intéressant.
https://www.dropbox.com/s/5um0et9db7kgtx...e.MPG?dl=0
Jean
Salut Jean,
Superbe cette petite vidéo, totalement collector.
Tu as eu la gentillesse de me la filer il y a 4 ou 5ans , je ne sais plus, c'était sur le "bleu" , et je la garde précieusement depuis. Je bluffe régulièrement mes potes Blueseux avec et je me la repasse régulièrement. C'est vraiment un document-cument
Bon dimanche, et meilleur souvenir à toi, Richard.
PS/ tu as vu, je poste très rarement sur le forum, mais quand on parle de JJC, je sors de ma tannière...
(05-12-2019, 08:28 AM)Lazar a écrit :(05-11-2019, 03:33 PM)pascalounet a écrit : Bonjour à tous,
Je viens de l'acheter le double vinyle ce samedi en prix vert à la FNAC
Certes c'est du bon mais ne peut cependant pas surpasser les albums déjà cités.
Bizarre le trop de chargement en basse de certains morceaux sur la 1ère face comme sur les autres faces cités par Fugazi et il nécessitera une deuxième écoute plus attentive mais ... peut être que l'acoustique du salon d'écoute de Fugazi, enceintes, câbles, ampli, préampli phono, ... ?
Par conte pour ceux qui ont acheté la version vinylique c'est écrit en bas et tout à la fin : Made in France by MPO alors remerciez bien MPO qui possédaient encore 16 presses en activité et qui a pu racheter et faire venir en France, encore 8 presses abandonnées inexorablement inutilisées dans le port de Caracas au Vénézuela car aujourd'hui ?
Je vais l'acheter, mais as- tu le double collector avec CD inclus ?
Il faut en effet acheter le double vinyle collector, qui est un superbe objet, avec un pressage très correct, et en plus le CD est offert avec ... Cordialement, BF.