Bonjour à tous, je viens faire part ici d’une première session d'écoute sur cet oratorio que j’ai eu la chance d’avoir en prêt.
Pour info j’avais déjà acquis le Liedson stream 4.7 qui m’avait laissé un très bon souvenir et que j’écoute encore régulièrement sur un système que j’aime beaucoup accompagné de Mulidine Rhapsodie dont j’ai doté mon beau frère
Je précise d’emblée qu’il s’agit d’une première écoute et non pas d’un test complet car je n’avais pas internet en filaire dans la pièce où se trouve mon système actuellement et à laquelle je n’ai accès que sporadiquement- déménagement oblige-.
A ce jour il n’y a pas de module wifi sur la version beta que j’ai testée car le concepteur dit ne pas vouloir « dégrader le signal ».
Personnellement je trouve cela un peu dommage mais après tout on n’est plus à un câble près quand on privilégie ce niveau de qualité.
De fait je n’ai malheureusement pas pu hier écouter la partie streamer, seulement la musique qui était déjà sur le disque dur interne.
Un mot rapide sur le système: une paire de Lemda, enceintes avec large bande fertin ( http://ebenisterie-musique.fr/Docs/Lembda%20Piel.pdf)
très transparentes et un ensemble mastersound blocs mono 845 plus avec preampli PHL7, raccordé au Liedson Oratorio par des câbles rca hms sestetto.
Un mot sur l’objet en lui même qui surprend par son design original, personnellement j’aime beaucoup, c’est très épuré, de belles lignes, j’adore le veinage délicat du plateau de bois, de l'orme, qui n’est pas pour déplaire à l’amateur de lutherie que je suis, esthétiquement disons que c’est un peu l’opposé d’un design impersonnel façon table de mixage.
Bref me voilà donc contraint d’écouter ce qu’il y a sur le disque dur mais j’aurais pu tomber plus mal : the Bennie Maupin quartet en hi res, c’est parti:
Le silence, la qualité du silence… ça peut faire sourire de commencer par là et il est vrai que cet enregistrement est très bon mais il y a d’emblée une ambiance qui s’installe dans le silence,
assez étonnant, avant que ça joue puis entre chaque note.
Le rendu semble très naturel, très fluide, une grande justesse de timbres, sans projection, c’est équilibré, la scène sonore est large mais précise. Il y a vraiment une aération magnifique entre les instruments. On sent qu’on a affaire à un dac haut de gamme parce qu’il y a un sentiment de vie et de dynamique « sans limite ».
On a donc enchainé les morceaux en passant de Bennie Maupin à Bach puis Metheny et Stan getz. Le saxophone est rendu dans toute son énergie mais il n’est jamais agressif on sent la texture charnelle de l’instrument et les modulations infimes qu’apportent les mouvements de lèvres et de souffle, c’est beau!
A chaque fois les timbres sont très naturels et la musique l’emporte avec beaucoup de micro informations qui participent discrètement mais sûrement à la vie du rendu.
Bref j’ai vraiment aimé cette première entrevue avec l’oratorio mais je dois dire que je suis frustré de ne pas avoir pu l’écouter sur la partie streaming qui d’après Gilles Aguilera est aussi bonne que la partie disque dur.
Apparemment les écoutes réalisées à Toulouse lors de la présentation chez ADHF étaient faites sur des enceintes Cube via qobuz ce qui en aurait agréablement surpris certains.Il faudra que j’écoute cela dans de bonnes conditions c’est à dire relié en filaire avec un réseau stable.
Pour être honnête nous avions réalisé une première brève écoute avec un membre du forum il y a deux semaines et nous étions restés un peu sur notre faim car malgré de belles qualités notamment de fluidité et de timbres on sentait une légère simplification du message via la connexion avec une clef 4G. Cette fois depuis le disque dur, on est dans un autre monde, c’est à la fois incarné et aérien, j’en déduis que cet oratorio mérite la meilleure source qui soit et donc une bonne connexion internet.
A nouveau je n’étais pas seul lors de l’écoute d’hier mais en compagnie d’un ami, ancien revendeur hifi à la retraite qui n’avait aucun à priori ni encore moins d’attente concernant l’oratorio et qui a pris le soin d’écouter attentivement.
Il a aimé sans réserve alors qu’il est plutôt fan de vinyls et ne considère la démat sérieusement que depuis quelques temps.On a d’ailleurs assez rapidement parlé musique plutôt que d’autre chose ce qui est plutôt bon signe à mon avis.
Je pense donc même si ce n’est qu’une première impression que cet oratorio mérite qu’on lui prête une oreille très attentive car il est tout en naturel, délicatesse avec une énergie enthousiasmante qui fait qu’on ne se pose pas de question.
Je précise connaissant la défiance tout à fait légitime qui est de règle sur ce forum que je n’ai pas d’actions chez Liedson et que je me sens d’autant plus libre d’en parler que je ne suis pas équipé de l’oratorio et que j’ignore le prix auquel il sera proposé, je l’ai laissé jouer comme on teste un instrument de musique, et de la musique, il en fait, je l’aurais bien gardé un peu plus!
Pour info j’avais déjà acquis le Liedson stream 4.7 qui m’avait laissé un très bon souvenir et que j’écoute encore régulièrement sur un système que j’aime beaucoup accompagné de Mulidine Rhapsodie dont j’ai doté mon beau frère
Je précise d’emblée qu’il s’agit d’une première écoute et non pas d’un test complet car je n’avais pas internet en filaire dans la pièce où se trouve mon système actuellement et à laquelle je n’ai accès que sporadiquement- déménagement oblige-.
A ce jour il n’y a pas de module wifi sur la version beta que j’ai testée car le concepteur dit ne pas vouloir « dégrader le signal ».
Personnellement je trouve cela un peu dommage mais après tout on n’est plus à un câble près quand on privilégie ce niveau de qualité.
De fait je n’ai malheureusement pas pu hier écouter la partie streamer, seulement la musique qui était déjà sur le disque dur interne.
Un mot rapide sur le système: une paire de Lemda, enceintes avec large bande fertin ( http://ebenisterie-musique.fr/Docs/Lembda%20Piel.pdf)
très transparentes et un ensemble mastersound blocs mono 845 plus avec preampli PHL7, raccordé au Liedson Oratorio par des câbles rca hms sestetto.
Un mot sur l’objet en lui même qui surprend par son design original, personnellement j’aime beaucoup, c’est très épuré, de belles lignes, j’adore le veinage délicat du plateau de bois, de l'orme, qui n’est pas pour déplaire à l’amateur de lutherie que je suis, esthétiquement disons que c’est un peu l’opposé d’un design impersonnel façon table de mixage.
Bref me voilà donc contraint d’écouter ce qu’il y a sur le disque dur mais j’aurais pu tomber plus mal : the Bennie Maupin quartet en hi res, c’est parti:
Le silence, la qualité du silence… ça peut faire sourire de commencer par là et il est vrai que cet enregistrement est très bon mais il y a d’emblée une ambiance qui s’installe dans le silence,
assez étonnant, avant que ça joue puis entre chaque note.
Le rendu semble très naturel, très fluide, une grande justesse de timbres, sans projection, c’est équilibré, la scène sonore est large mais précise. Il y a vraiment une aération magnifique entre les instruments. On sent qu’on a affaire à un dac haut de gamme parce qu’il y a un sentiment de vie et de dynamique « sans limite ».
On a donc enchainé les morceaux en passant de Bennie Maupin à Bach puis Metheny et Stan getz. Le saxophone est rendu dans toute son énergie mais il n’est jamais agressif on sent la texture charnelle de l’instrument et les modulations infimes qu’apportent les mouvements de lèvres et de souffle, c’est beau!
A chaque fois les timbres sont très naturels et la musique l’emporte avec beaucoup de micro informations qui participent discrètement mais sûrement à la vie du rendu.
Bref j’ai vraiment aimé cette première entrevue avec l’oratorio mais je dois dire que je suis frustré de ne pas avoir pu l’écouter sur la partie streaming qui d’après Gilles Aguilera est aussi bonne que la partie disque dur.
Apparemment les écoutes réalisées à Toulouse lors de la présentation chez ADHF étaient faites sur des enceintes Cube via qobuz ce qui en aurait agréablement surpris certains.Il faudra que j’écoute cela dans de bonnes conditions c’est à dire relié en filaire avec un réseau stable.
Pour être honnête nous avions réalisé une première brève écoute avec un membre du forum il y a deux semaines et nous étions restés un peu sur notre faim car malgré de belles qualités notamment de fluidité et de timbres on sentait une légère simplification du message via la connexion avec une clef 4G. Cette fois depuis le disque dur, on est dans un autre monde, c’est à la fois incarné et aérien, j’en déduis que cet oratorio mérite la meilleure source qui soit et donc une bonne connexion internet.
A nouveau je n’étais pas seul lors de l’écoute d’hier mais en compagnie d’un ami, ancien revendeur hifi à la retraite qui n’avait aucun à priori ni encore moins d’attente concernant l’oratorio et qui a pris le soin d’écouter attentivement.
Il a aimé sans réserve alors qu’il est plutôt fan de vinyls et ne considère la démat sérieusement que depuis quelques temps.On a d’ailleurs assez rapidement parlé musique plutôt que d’autre chose ce qui est plutôt bon signe à mon avis.
Je pense donc même si ce n’est qu’une première impression que cet oratorio mérite qu’on lui prête une oreille très attentive car il est tout en naturel, délicatesse avec une énergie enthousiasmante qui fait qu’on ne se pose pas de question.
Je précise connaissant la défiance tout à fait légitime qui est de règle sur ce forum que je n’ai pas d’actions chez Liedson et que je me sens d’autant plus libre d’en parler que je ne suis pas équipé de l’oratorio et que j’ignore le prix auquel il sera proposé, je l’ai laissé jouer comme on teste un instrument de musique, et de la musique, il en fait, je l’aurais bien gardé un peu plus!
Enceintes L5 EBM/Blocs Mono Mastersound 845 plus et Préampli Mastersound Spettro PHL7/Audiomat Maestro 4 Référence/Switch Innuos Phoenix NET .
Câbles modulation et HP : "le lien"EBM
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