06-25-2018, 08:58 AM
(Modification du message : 06-25-2018, 08:59 AM par Musicalbox.)
Le problème est que sur ce fil on a un mélange d’a priori et de technique difficiles à expliquer au néophyte.
Cela finit en dérives ponctuées de « je me comprends », « tu me comprends » « on se comprend » entre deux ou trois personnes, sans tenir compte de ce que le traitement d’un sujet est censé apporter à tout lecteur.
Parce que là je vous promet que les gens qui veulent juste essayer de comprendre un minimum sont largués depuis longtemps.
Il ne faut pas prendre ce qui est écrit comme ci, il faut l’interpréter comme ça ; oui mais c’est écrit tel que c’est écrit.
Dans ce cas il faut l’ecrire autrement......
En six ans j’ai pu constater en suivant des constructions de matériels (là on est dans le concret matérialisé, pas dans l’idee qu’on s’en fait) qu’il faut énormément se méfier des généralités.
J’ai vu qu’il y a des choses prétendues impossibles que l’on peut réaliser en contournant les méthodes ordinaires.
Que rien n’est simple ni surtout figé en technique !
Et surtout que le maître mot est IMAGINATION.
Que le DIY se rate moins sur peu d’éléments c’est certain.
Ceux qui y mettent de l’energie du temps et de l’argent ici le savent.
Pour être l’electron libre, celui qui regarde et écoute, ma seule conclusion est qu’il faut extrêmement se garder des affirmations qui ferment les portes de l’intelligence.
Il y a certes des postulats incontournables qui se terminent par « c’est comme ça on n’y peut rien », mais ce n’est que le tout petit sommet de l’iceberg.
On est parti sur un sujet, comment déterminer le niveau d’un matériel,
il me semble que depuis un certain nombre de pages on est tous d’accord sur Intelligence du schéma, choix des composants, et qualité du montage.
Ce qui noie le poisson est la pléthore de matériels sur le marché, les discours de marketing, l’incohérence des tarifs , et la difficulté à même tester sans se leurrer par une mauvaise mise en oeuvre.
La méconnaissance d’utilisation de certains types de construction (par exemple juger un appareil qui a besoin de cinq heures de chauffe au bout de deux, ou de 350h de rodage au bout de 200....), la difficulté à dissocier un élément testé des éventuels défauts d’autres éléments du système. L’aspect plus ou moins révélateur de certains matériels qui fait qu’ils peuvent être accusés de défauts dont ils ne sont pas la cause, etc.......
Ce n’est malheureusement pas en des milliers de pages de forum que cela peut se résoudre.
Le pire ennemi étant l’engouement excessif pour des marques, qui complique les tentatives de discussion.
Un matériel n’est pas une marque, c’est une construction.
Je rêve d’une journée de salon de la hifi sans un seul logo, sans une seule étiquette, et avec un rideau devant chaque système.
Cela finit en dérives ponctuées de « je me comprends », « tu me comprends » « on se comprend » entre deux ou trois personnes, sans tenir compte de ce que le traitement d’un sujet est censé apporter à tout lecteur.
Parce que là je vous promet que les gens qui veulent juste essayer de comprendre un minimum sont largués depuis longtemps.
Il ne faut pas prendre ce qui est écrit comme ci, il faut l’interpréter comme ça ; oui mais c’est écrit tel que c’est écrit.
Dans ce cas il faut l’ecrire autrement......
En six ans j’ai pu constater en suivant des constructions de matériels (là on est dans le concret matérialisé, pas dans l’idee qu’on s’en fait) qu’il faut énormément se méfier des généralités.
J’ai vu qu’il y a des choses prétendues impossibles que l’on peut réaliser en contournant les méthodes ordinaires.
Que rien n’est simple ni surtout figé en technique !
Et surtout que le maître mot est IMAGINATION.
Que le DIY se rate moins sur peu d’éléments c’est certain.
Ceux qui y mettent de l’energie du temps et de l’argent ici le savent.
Pour être l’electron libre, celui qui regarde et écoute, ma seule conclusion est qu’il faut extrêmement se garder des affirmations qui ferment les portes de l’intelligence.
Il y a certes des postulats incontournables qui se terminent par « c’est comme ça on n’y peut rien », mais ce n’est que le tout petit sommet de l’iceberg.
On est parti sur un sujet, comment déterminer le niveau d’un matériel,
il me semble que depuis un certain nombre de pages on est tous d’accord sur Intelligence du schéma, choix des composants, et qualité du montage.
Ce qui noie le poisson est la pléthore de matériels sur le marché, les discours de marketing, l’incohérence des tarifs , et la difficulté à même tester sans se leurrer par une mauvaise mise en oeuvre.
La méconnaissance d’utilisation de certains types de construction (par exemple juger un appareil qui a besoin de cinq heures de chauffe au bout de deux, ou de 350h de rodage au bout de 200....), la difficulté à dissocier un élément testé des éventuels défauts d’autres éléments du système. L’aspect plus ou moins révélateur de certains matériels qui fait qu’ils peuvent être accusés de défauts dont ils ne sont pas la cause, etc.......
Ce n’est malheureusement pas en des milliers de pages de forum que cela peut se résoudre.
Le pire ennemi étant l’engouement excessif pour des marques, qui complique les tentatives de discussion.
Un matériel n’est pas une marque, c’est une construction.
Je rêve d’une journée de salon de la hifi sans un seul logo, sans une seule étiquette, et avec un rideau devant chaque système.