Que dire sur les XTZ.
Qu'après avoir réalisé 1 ou 2 paires d'enceintes par ans, durant 20 ans, j'ai quelques notions sur la question.
Des hps hdg SEAS serie excel dans une caisse inerte en époxy chargé et un filtre avec des composants Mundorf ne pouvaient que le faire.
N'ayant pas le budget en rapport avec mes prétentions, je lorgnais sur les kits haut de gamme. Jusqu'au jour où un forum a titillé ma curiosité au sujet des XTZ.
L'objectif était d'avoir au moins la qualité de timbres de mes Proac D18 mais avec moins de niveau dans le grave dans ma pièce trop petite. Le choix de biblio s'imposait, au vu du pédigrée, des composants, du coût et de la mise en oeuvre, j'ai tenté le coup.
J'en ai parlé sur des forums et bénéficié de la gratuité des pieds dédiés 2090e ttc dont coût du transport depuis la Suéde.
Au final, il n'y a que le son, le rendu qui compte et bien que l'objet soit beau, ça sonne plus que bien. Juste le soupçon de basses envahissantes en moins et une qualité de timbres au top; on entend tout.
Sur le morceau Hungry for love, d'Otis Taylor de l'album Blue Eyed Monster de 1996 lors de tests de param Tiny, j'avais l'impression d'avoir des 38, tant le bassiste envoyait du lourd, parfaitement modulé, profond et tendu. Ca swingue, ça chante, un vrai plaisir.
Qu'après avoir réalisé 1 ou 2 paires d'enceintes par ans, durant 20 ans, j'ai quelques notions sur la question.
Des hps hdg SEAS serie excel dans une caisse inerte en époxy chargé et un filtre avec des composants Mundorf ne pouvaient que le faire.
N'ayant pas le budget en rapport avec mes prétentions, je lorgnais sur les kits haut de gamme. Jusqu'au jour où un forum a titillé ma curiosité au sujet des XTZ.
L'objectif était d'avoir au moins la qualité de timbres de mes Proac D18 mais avec moins de niveau dans le grave dans ma pièce trop petite. Le choix de biblio s'imposait, au vu du pédigrée, des composants, du coût et de la mise en oeuvre, j'ai tenté le coup.
J'en ai parlé sur des forums et bénéficié de la gratuité des pieds dédiés 2090e ttc dont coût du transport depuis la Suéde.
Au final, il n'y a que le son, le rendu qui compte et bien que l'objet soit beau, ça sonne plus que bien. Juste le soupçon de basses envahissantes en moins et une qualité de timbres au top; on entend tout.
Sur le morceau Hungry for love, d'Otis Taylor de l'album Blue Eyed Monster de 1996 lors de tests de param Tiny, j'avais l'impression d'avoir des 38, tant le bassiste envoyait du lourd, parfaitement modulé, profond et tendu. Ca swingue, ça chante, un vrai plaisir.