05-15-2019, 06:52 PM
Bonjour à tous,
Meloman
Bah alors que veux-tu de plus ?
Cela dépend forcément du master numérique mais les nouveaux enregistrements numériques couchés sur les nouveaux vinyles => son semble plus plat avec manque de relief, manque d'aération, manque de respiration, manque d'air autour de l'instrument et de l'instrumentiste, son compressé, son bouché, son cotonneux ... avec une perception de l'espace stéréo en largeur qui est bonne mais comme opressé et un espace en profondeur qui semble tronqué et diminué c'est à dire l'étagement des musiciens en profondeur réduit voir au pire tous les musiciens sur la même ligne de départ.
Timbres surtout appuyés sur la fréquence fondamentale avec un manque d'harmoniques supérieures surtout décelable dans l'aigu et extrême aigu car manque d'échantillons (piano, violon, vibraphone, xylophone, cymbales, clochettes, triangle, cuivres, bois, flute, ... et attaques de montée comme de descente transitoires semblent un peu modifiées,
Tendance possible à un son plus médium aigu en avant possible donc tendance à un son projeté qui semble plus clair et analytique
En général toutes les parties bas médium à extrême grave s'en sortent toujours le mieux
Les enregistrements bien effectués en 24/96kHz et plus doivent être très bons, bons, ... mais par contre le traitement ultérieur au mixage fait perdre car compression dynamique, effets, corrections, ... plus le mastering ... plus le temps de location du studio et de l'ingénieur du son+ assistants qui sont payés par le producteur puis l'éditeur alors ... au final on presse MPO de graver un master puis de presser ensuite les galettes noires et argentées ...
Résultat :
en effet même avec une écoute attentive ou non, on n'arrive plus à véhiculer la vie et l'émotion de l'artiste et nous avons exactement la même chose avec l'image numérique photo qui semble belle, parfaite en définition mais sans relief, sans profondeur et sans vie alors que vieille image argentique n'est pas parfaite mais véhicule la profondeur, le relief et la vie.
MelomanCitation :Oui je sais tout cela Pascalounetundefined
Bah alors que veux-tu de plus ?
Cela dépend forcément du master numérique mais les nouveaux enregistrements numériques couchés sur les nouveaux vinyles => son semble plus plat avec manque de relief, manque d'aération, manque de respiration, manque d'air autour de l'instrument et de l'instrumentiste, son compressé, son bouché, son cotonneux ... avec une perception de l'espace stéréo en largeur qui est bonne mais comme opressé et un espace en profondeur qui semble tronqué et diminué c'est à dire l'étagement des musiciens en profondeur réduit voir au pire tous les musiciens sur la même ligne de départ.
Timbres surtout appuyés sur la fréquence fondamentale avec un manque d'harmoniques supérieures surtout décelable dans l'aigu et extrême aigu car manque d'échantillons (piano, violon, vibraphone, xylophone, cymbales, clochettes, triangle, cuivres, bois, flute, ... et attaques de montée comme de descente transitoires semblent un peu modifiées,
Tendance possible à un son plus médium aigu en avant possible donc tendance à un son projeté qui semble plus clair et analytique
En général toutes les parties bas médium à extrême grave s'en sortent toujours le mieux
Les enregistrements bien effectués en 24/96kHz et plus doivent être très bons, bons, ... mais par contre le traitement ultérieur au mixage fait perdre car compression dynamique, effets, corrections, ... plus le mastering ... plus le temps de location du studio et de l'ingénieur du son+ assistants qui sont payés par le producteur puis l'éditeur alors ... au final on presse MPO de graver un master puis de presser ensuite les galettes noires et argentées ...
Résultat :
en effet même avec une écoute attentive ou non, on n'arrive plus à véhiculer la vie et l'émotion de l'artiste et nous avons exactement la même chose avec l'image numérique photo qui semble belle, parfaite en définition mais sans relief, sans profondeur et sans vie alors que vieille image argentique n'est pas parfaite mais véhicule la profondeur, le relief et la vie.
