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(07-18-2018, 12:43 PM)KIKIWILLYBEE a écrit : [ -> ]" Tes autres liens semaient la confusion" : le sujet est 'polymorphe' .....  Smile

On passe vite de polymorphe à sans queue ni tête avec tes bombardements de liens !  Smile
(07-18-2018, 12:53 PM)volpone75 a écrit : [ -> ]
(07-18-2018, 12:43 PM)KIKIWILLYBEE a écrit : [ -> ]" Tes autres liens semaient la confusion" : le sujet est 'polymorphe' .....  Smile

On passe vite de polymorphe à sans queue ni tête avec tes bombardements de liens !  Smile
atomiques ? ... Big Grin
'Docteur Folamour' ! Smile
Vincent. a écrit :
(07-18-2018, 11:50 AM)Jacques92 a écrit : [ -> ]...
Ce chronogramme est presque choquant tellement il est loin de la réalité de comment on fait dans le métier de l'électronique numérique. C'est carrément de la desinfomation !
Pour quelle raison Jacques ?

Prenons le cas d'une liaison de transmission point à point avec un signal data et un signal de synchro (horloge). Par exemple I2S ou DSD. 
Soit la transmission de synchronisation est décalée par rapport à la sortie du signal data de manière à tomber au milieu de la fenêtre temporelle durant laquelle la data est stable.
Soit le récepteur évalue la data de manière décalée par rapport au front de synchronisation (par exemple le récepteur lit sur front montant de la synchronisation alors que l'émetteur sort la data lors du front descendant).
Dans les deux cas, la donnée est lue par le récepteur en plein milieu de la fenêtre temporelle durant laquelle la data est sensée être validé. Si il y a du jitter dans la donnée ou dans le front de synchronisation, jusqu'à des valeurs extrêmes la transmission est totalement immune.

Le seul endroit de la chaîne où le jitter va poser un problème c'est quand il se retrouve sur le signal de synchronisation pilotant l'étage de conversion en analogique, car les valeurs analogiques sont alors sorties pas exactement aux bons moments ce qui déforme le signal analogique.

Donc si on considère que la données arrivent safe dans le circuit qui sort en I2S ou en DSD (monde informatique hyper résilient au rapport s/b et au jitter) et que la liaison audio I2S / DSD est correctement réalisée, le jitter ne modifiera aucune donnée numérique. Seul restera au final la partie du jitter d'horloge qui va se retrouver sur l'horloge pilotant la conversion analogique.

Personnellement je refuse de croire que les ingénieurs du monde de l'audio soient suffisant nuls pour ne pas savoir mettre en oeuvre une liaison I2S / DSD dont la validité des données numériques résiste au jitter de la source.
(07-18-2018, 01:41 PM)Jacques92 a écrit : [ -> ]...
Le seul endroit de la chaîne où le jitter va poser un problème c'est quand il se retrouve sur le signal de synchronisation pilotant l'étage de conversion en analogique, car les valeurs analogiques sont alors sorties pas exactement aux bons moments ce qui déforme le signal analogique.

+1, Merci.
C'est exactement ce que dit Ted Smith dans la video postée par @KIKIWILLYBEE. 

Traduction en résumé: Le jitter est important en restitution audio mais n'a d'influence qu'au stade de la conversion numérique / analogique, en amont de la conversion cela n'a aucune influence. 
Par ailleurs il souligne la nécessité d'une horloge de référence "propre" mais aucun besoin de la précision sur le long terme qu'offre une horloge "rubidium". Un crystal de qualité, régulier et précis sur le court terme fait parfaitement le job. 
(07-18-2018, 11:20 AM)KIKIWILLYBEE a écrit : [ -> ]...
Mais dans nos application audio , aucun protocole de correction !,
qui n'est qu'une couche logicielle au dessus du matériel.
...
Ben mince alors  Huh 
Je ne suis pas du tout spécialiste du domaine. 
Donc contrairement à ce qu'on pourrait penser : entrée spdif ET entrée "réseau" d'un lecteur réseau, c'est idem => un flux unidirectionnel sans correction d'erreur !? Huh
(07-18-2018, 01:54 PM)volpone75 a écrit : [ -> ]...
C'est exactement ce que dit Ted Smith dans la video postée par @KIKIWILLYBEE. 

Traduction en résumé: Le jitter est important en restitution audio mais n'a d'influence qu'au stade de la conversion numérique / analogique. Nécessité d'une horloge "propre" mais aucun besoin de la précision sur le long terme qu'offre une horloge "rubidium". Un crystal de qualité, régulier et précis sur le court terme fait parfaitement le job. 
Je pense avoir voulu dire la même chose.

(07-18-2018, 01:41 PM)Jacques92 a écrit : [ -> ]...

Prenons le cas d'une liaison de transmission point à point avec un signal data et un signal de synchro (horloge). Par exemple I2S ou DSD. 
Soit la transmission de synchronisation est décalée par rapport à la sortie du signal data de manière à tomber au milieu de la fenêtre temporelle durant laquelle la data est stable.
Soit le récepteur évalue la data de manière décalée par rapport au front de synchronisation (par exemple le récepteur lit sur front montant de la synchronisation alors que l'émetteur sort la data lors du front descendant).
Dans les deux cas, la donnée est lue par le récepteur en plein milieu de la fenêtre temporelle durant laquelle la data est sensée être validé. Si il y a du jitter dans la donnée ou dans le front de synchronisation, jusqu'à des valeurs extrêmes la transmission est totalement immune.

Le seul endroit de la chaîne où le jitter va poser un problème c'est quand il se retrouve sur le signal de synchronisation pilotant l'étage de conversion en analogique, car les valeurs analogiques sont alors sorties pas exactement aux bons moments ce qui déforme le signal analogique.

Donc si on considère que la données arrivent safe dans le circuit qui sort en I2S ou en DSD (monde informatique hyper résilient au rapport s/b et au jitter) et que la liaison audio I2S / DSD est correctement réalisée, le jitter ne modifiera aucune donnée numérique. Seul restera au final la partie du jitter d'horloge qui va se retrouver sur l'horloge pilotant la conversion analogique.

Personnellement je refuse de croire que les ingénieurs du monde de l'audio soient suffisant nuls pour ne pas savoir mettre en oeuvre une liaison I2S / DSD dont la validité des données numériques résiste au jitter de la source.
Quid du flux PCM qui arrive à l'entrée S/PDIF du DAC (c'était ça le point) ?
(07-18-2018, 02:10 PM)Vincent. a écrit : [ -> ]Je pense avoir voulu dire la même chose.

Tout à fait, tu dis la même chose que Smith ou si tu préféres Smith dit la même chose que toi !
De ce que je comprends:
Des lors qu'on utilise un signal électrique en entrée du DAC (donc toutes les interfaces hormis le toslink) se signal peut véhiculer des interférences qui ne peuvent pas être complètement "filtrées". Par ailleurs, l'alimentation du DAC peut elle même générer des interférences. Également tous les composants au sein du DAC (y compris les horloges). 

Toutes ses interférences vont perturber le fonctionnement du DAC. 

Les choses ne sont pas à mon avis si simples...

Parler de "streamer HDG" sans aborder les DAC n'a pas beaucoup de sens.
Koukou ! ,
(yess : certains me 'reprocheront' d'ajouter à la confusion ! ... Smile ) ,
mais à propos de résilience et d'immunité , cf JACQUES ,
ont peut apercevoir ke les tolérances sur la qualité du signal (des signaux) sont larges :
https://www.nxp.com/docs/en/user-guide/UM10204.pdf