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Version complète : Streaming, la fuite des labels discographiques ?
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J'avais débuté ce post par la désertion des labels "Aliavox" et Château de Versailles" de la plateforme Qobuz, ils y sont revenu, comme quoi !
Chateau de Versailles avait pourtant créé son propre site de streaming et de téléchargement.
Pour les amateurs de "classique" on ne peut que se réjouir.
(04-16-2022, 04:18 PM)Orlando a écrit : [ -> ]J'avais débuté ce post par la désertion des labels "Aliavox" et Château de Versailles" de la plateforme Qobuz, ils y sont revenu, comme quoi !
Chateau de Versailles avait pourtant créé son propre site de streaming et de téléchargement.
Pour les amateurs de "classique" on ne peut que se réjouir.

+1
(04-15-2022, 03:39 PM)coolsound a écrit : [ -> ]
  • Napster : 0,016€

  • Tidal : 0,011€

  • Apple Music : 0,005€

  • Deezer : 0,005€

  • Spotify : 0,003€

  • Amazon Music : 0,003€

  • YouTube Music : 0,0006€

Hello coolsound,

Connait-on la part reversée par Qobuz?
Salut,
pour moi la grosse contradiction entre le streaming et l'achat de disques ou de fichiers numériques est la rémunération par écoute.
Quand on achète, matériel ou démat, l'artiste a vendu, qu'on l'écoute ou non, peu ou beaucoup, qu'on l'écoute maintenant ou de nouveau dans 30 ans ou que ce soient nos héritiers. Combien de fois écoute-t-on un album? peu de fois à la suite, mais il est là, chez nous, et on le ressortira un jour. 

Je viens de réécouter le 1er JJ Cale, il est mort et en streaming il n'en verra pas la couleur, mais à l'époque il a touché et a pu en profiter.
(04-24-2022, 12:53 PM)mélaudiophile a écrit : [ -> ]Salut,
pour moi la grosse contradiction entre le streaming et l'achat de disques ou de fichiers numériques est la rémunération par écoute.
Quand on achète, matériel ou démat, l'artiste a vendu, qu'on l'écoute ou non, peu ou beaucoup, qu'on l'écoute maintenant ou de nouveau dans 30 ans ou que ce soient nos héritiers. Combien de fois écoute-t-on un album? peu de fois à la suite, mais il est là, chez nous, et on le ressortira un jour. 

Je viens de réécouter le 1er JJ Cale, il est mort et en streaming il n'en verra pas la couleur, mais à l'époque il a touché et a pu en profiter.

Personnellement je n'écoute que du classique et un peu de jazz.
La vente des disques pour ces artistes (surtout en classique) sert plus de carte de visite que d'une partie de leur rémunération.
"quid d'un instrumentiste d'un orchestre symphonique !"
J'écoute aujourd'hui essentiellement en streaming et n'est donc pas "trop" culpabilisé, aussi parce que par le passé j'ai acheté beaucoup de vynile et de cd.
Pour les autre répertoires (pop, variété) il en va certainement autrement.
Dans une interview, Roger Daltrey donne son point de vue (cruel) sur le streaming et l'évolution de l'industrie musicale:
https://www.rtbf.be/article/roger-daltre...s-10981112

C'est très inquiétant pour les artistes, et l'avenir de nos écoutes. Mais en prime, une version acoustique 50 ans après sa sortie de "behind blue eyes".Nostalgie!
Mozart aurait pu se payer une belle sépulture en streamant...  Angel

https://www.ladepeche.fr/2022/02/07/comb...094880.php
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